Panafrica. Une société française, avec bien plus qu’un nom et des ancrages en Afrique. Pouvez vous deviner leur activité?
Des baskets.
Mais pas que.
Panafrica. Une société française, avec bien plus qu’un nom et des ancrages en Afrique. Pouvez vous deviner leur activité?
Des baskets.
Mais pas que.
Le travail informel est très souvent la norme dans les pays en développement. Dimension culturelle, faible confiance dans les institutions, procédure longues et fastidieuses… autant de raisons de rester dans l’informalité. Même si l’informalité peut être utilisée lors de la création d’une entreprise pour tester son idée et son marché, il est indispensable de « se formaliser » pour grandir et étendre son marché.
Le blog iD4D parle du travail informel, de ses sources dans un article écrit par Philippe Marcadent, du Bureau International du Travail et en charge du travail informel.
Serge Nawej, avocat d’affaire, mais surtout président de la Commission Nationale des Jeunes Entrepreneurs (CNJE) tente de révolutionner la façon dont un pays, une structure favorise l’entrepreneuriat de la jeunesse. Avec une dimension démographique que l’on ne cite plus, une récente transition du pouvoir vers l’opposition qui aurait surpris les observateurs africains il y a encore quelques années de cela, le Grand Congo est vraiment une terre de contraste, d’interrogations, mais surtout le terreau d’une certaine énergie.
Avec cette interview qui peut paraitre ardue, nous avons ici une vraie vision, africaine, locale et surtout volontariste. Pour ne pas dénaturer les propos, et pour la première fois sur le blog, voici l’intégralité de nos échanges avec Serge Nawej.
Parmi les différents écueils de la création et du développement d’une entreprise se trouve une passe particulièrement difficile : la capacité à pivoter. Qu’entend-on par-là ? Il s’agit de la capacité de l’équipe dirigeante à transformer le produit de la société, ou son business model pour profiter d’un marché, d’un élan qui permettra à l’entreprise de s’établir sur des bases solides.
C’est lors de cette phase de transformation que les compétences de l’équipe dirigeante sont révélées : un échec de ce pivot mène souvent à l’arrêt de l’entreprise.
Pour illustrer ce concept, je vous propose le portrait de Faso Soap, entreprise burkinabée qui s’attaque au problème du paludisme.
La London Stock Exchange sort aujourd’hui son rapport « Companies to Inspire Africa », contenant 360 entreprises, de secteurs aussi divers que l’Agriculture, les Télécommunications, la Santé ou encore l’Éducation.
Sélectionnées la Banque Africaine de développement, CDC Group, PwC et Asoko Insight, les entreprises de ce rapport sont autant d’expériences à découvrir pour tous ceux qui souhaitent creuser l’écosystème entrepreneurial africain.
A bientôt le tour de Save Our Agriculture, 10’000 Codeurs, SolarBox ou Les Petits Pots de l’Ogooué pour redorer le blason de l’Afrique Centrale?
À lire en détail ⇒ Ici
Disrupt Africa nous parle de Angaza Elimu, start-up kenyane qui pose sa pierre dans l’amélioration de l’éducation en zones rurales.
La société propose une solution d’e-learning, qui permet de renforcer le lien entre le professeur et ses élèves et de répondre au problème des manuels scolaires.
Nous parlons régulièrement sur le blog d’impact et création de valeurs extra-financière avec des solutions qui permettent de valoriser le terroir, électrifier les zones rurales ou proposer une nouvelle forme de production alimentaire. Cependant, il me paraît nécessaire de faire le point sur un indicateur, ou plutôt un but : les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. J’ai récemment eu accès au document qui sera publié le 26-28 Novembre par l’UNEP FI : prenons donc le temps de « Repenser l’impact pour financer les Objectifs de Développement durable »
En plus des ressources naturelles, l’Afrique possède une ressource bien moins valorisée mais avec un très fort potentiel: sa jeunesse. Pénalisé par un système éducatif pauvre, cette tranche de la population peine à trouver un emploi, et donc à contribuer à la croissance économique grâce notamment au renforcement de la classe moyenne quasi-inexistante dans de nombreux pays africains.
Pour répondre à cette problématique, Douglas Mbiandou à créé 10’000 Codeurs. Pourquoi, comment, dans quel contexte ? Penchons-nous sur ces questions.
Nourrir sa population, jeune et principalement urbaine est un défi pour l’Afrique d’aujourd’hui et de demain. Du fait d’infrastructures déficientes, l’agriculture péri-urbaine semble être une solution adéquate pour répondre à la demande en produits frais, de qualités et à prix abordable. Parmi tous les acteurs du marché, Save Our Agriculture sort du lot en alliant productivité, respect de l’environnement et maîtrise des coûts de production.
Aujourd’hui, offrons-nous une douceur et parlons confitures. Pas de la confiture de tous les jours, mais celle qui nous surprend et nous incite à mettre le doigt dans le pot et recommencer. Parmi ces fournisseurs de bonheur se trouve Les Petits Pots de l’Ogooué.